Mêêrenptah

Nom :Mêêrenptah

Âge :22 ans

Métier : Commandant de la charrerie de Ramosé, Gouverneur de la Province Supérieure du Laurier

Physique :

Mêêrenptah est un homme bien fait de sa personne, grand, environ 1.75 cm, à la musculature puissante. Il se meut avec une aisance naturelle, ses gestes sont précis, mesurés, sans excés. Il a le teint hâlé des gens habitués au soleil du désert. Son visage, harmonieux et expressif, attire le regard, c'est un homme séduisant. Nez droit et des lèvres minces, des pommettes saillantes, des yeux sombres et perçants renseignent sur un caractère volontaire et implacable.


Caractère :

Mêêrenptah est un homme pondéré dans ses actes et dans ses paroles. Il a la tenacité et le courage du lion, ainsi que la patience du cobra. Une volonté farouche l'anime, ce qui fait de lui un adversaire inflexible et dangereux. Son charisme indéniable lui vaut d'être obéi par ses sulbalternes et apprécié par ses soldats. Il se montre magnanime envers ses ennemis qui le combattent avec honneur, féroce et sans pitié contre les lâches et les fourbes. Il possède le sens des responsabilités et des initiatives. C'est un homme sensé, intelligent et conscient de la valeur humaine.

Mêêrenptah est un homme bien née, donc de la haute noblesse. Son père Ramosé est un prince, gouverneur de la Province Supérieur du Laurier. Sa mère, dans son enfance fut élevée à la Cour de l'Hérétique, au coté des princesses royales. Elle garde au fond de son coeur l'influence mystique du culte d'Aton. Les Dieux furent cruels envers Ramosé et son épouse. Ils perdirent leur fils aîné, khémes, tué lors de son premier combat. Deux soeurs aînées mourrurent en bas âge. Il ne leur reste qu'une jeune fille adoptive, possédée du Don des Dieux. A demie-folle, elle serait dit-on, gardée sous la surveillante étroite de sa gouvernante dans le palais familiale. Les rumeurs disent que cette enfant possède la beauté d'Hathor.

La beauté est agréable aux sens de Mêêrenptah. Il apprécie les belles fêtes, les mets raffinés, les vins doux au palais et la bière légère. Il est charmé par la beauté des femmes et sait s'entourer de belles danseuses et chanteuses. Il aime écouter les doux chants, les poémes d'amour. Il aime aussi prendre une harpe et réciter poémes et récits d'amour. C'est un homme lettré, assidu à la connaissance des Dieux, des Rois ancestraux et des lois qui gouvernent l'Univers et les hommes. Il est curieux de l'architecture et des progrès des sciences.

Il ne délaisse en aucun cas, les arts de la guerre dans lesquels il excelle. Il aime particulièrement la chasse au lion et au féroce taureau sauvage. Ses dons d'organisateur lui ouvrent les portes des riches maisons nobles. Mais ce qu'il préfère par dessus tout, c'est se retrouver face à face avec le Lion et le tuer d'un seul coup de son javelot puissant....

Histoire :

Le bourbonnement rageur des insectes dansants autour de la flamme de la lampe à huile, ramène mon esprit à la douce réalité de la nuit. Le silence, omniprésent, s'étend tel une chape sur le palais endormi, pareil à une couverture de duvet sur le sommeil de l'enfançon.
Je soupire, il est tard, dans la nuit étoilée par Nout, mon regard se promène sur les formes familières, ombrées et nuancées de gris et de noires de mon jardin personnel qui jouxte mes appartements.

J'aime particulièrement ce moment, où la fraicheur de la nuit fait place à la fournaise de Râ, c'est un moment doux, propice à la méditation, à la rencontre avec les Dieux. La senteur étourdisante des lotus, des carroubiers et des essences de fleurs des massifs taillés, embaument l'air et m'enivrent d'un parfum sans égal. A cela s'ajoutent les volutes des gommes arabiques des encents qui brûlent.

Je suis assis en tailleur sur un vieux coussin confortable, devant ma table basse de bois précieux, mes pinceaux, roseaux et autres calames sont rangés avec minutie, prêt à coucher les signes dictés par ma volonté, sur le papyrus. Les encres, elles aussi sont prêtes, confectionnées avec délicatesse par mes soins. Mes mains tremblent légérement en touchant, les tablettes d'argiles posées dans le panier d'osier. Je souris en me remémorant les scribbes esquissants les signets sous ma dictée, attentifs et appliqués à mes paroles.

La journée fut longue et chargée. Bien que je n'exerce plus de charges officielles, dûes à mon grand âge, Sa Majesté requière ma présence chaque jour auprès de Sa Face. Elle porte toujours une oreille attentive à mes paroles, me demandant mon avis sur les sujets émis par les membres de la Cour. C'est un jeu, auquel Sa Majesté et moi, avons par connivence réglés les détails il y a bien de nombreuses années. Cela nous amuse de voir ces jeunes fâts, se dresser comme des jeunes lionceaux, se mordillant la queue et les oreilles pour quelques miettes de repas.

Je donnai ce soir une belle fête en mon honneur, où furent conviés nombre de mes amis et officiers de mes domaines, ainsi que leurs épouses. Paser, le Premier Prophète du Dieu, est venu. Ce fut un moment inoubliable lorsque Shïmaï, la première Chanteuse du Dieu chanta de belles chansons, elle nous éblouit de sa voix pure et cristalline, nos coeurs se serrèrent, nos yeux s'emplirent de belles larmes devant ses poémes :


"...Mon coeur est en harmonie avec ton coeur
et je ne peux me détacher de ta beauté....
seul ton souffle donne vie à mon coeur.....
maintenant que je t'ai trouvé, qu'Amon te
fasse mienne pour l'éternité.......

....Aimée unique et sans rivales....
la plus belle de toutes les femmes
écoute.... c'est comme une étoile
qui surgit au début d'une bonne année
pleine de lumière et de perfection....
resplendissante de toutes les couleurs
elle fascine par la lumière de ses yeux
enchante par le son de sa voix.....

Mon coeur s'échappe de ma poitrine
lorsque je pense à toi..........
il s'arrache de ma poitrine,
me met hors de moi
ne me fais pas me farder les yeux
jouer de l'éventail
ne t'affole pas mon coeur
repose toi, calme toi,
l'Amour vient à toi avec toute ma prudence
fais ce qu'on ne dise pas :
Voici une femme à qui l'amour
fait perdre le bons sens
Reste calme chaque fois
que tu penses à lui
mon coeur ne m'abandonne pas"......

Ces paroles, aussi douces que le miel, résonnent encore à mes oreilles. Elles me rappellent une jeunesse éloignée, une jeunesse, dont maintenant je m'apprête à coucher le récit de mes aventures.


-Je m'adresse à toi Noble Visiteur, qui un jour, lorsque tu te rendras au sein de ma chapelle funéraire, et offrir à mon Kâ tes offrandes. Tu pourras, alors, lire ces papyrus sur l'histoire de ma vie. Je te parle avec Mâât sur la langue.

"...Je naquis dans la vingt-troisième année du règne de Sa Majesté : Vie, Santé, Force, Le Dieu Grand Djeser-Khépérou-Rê, Taureau Puissant Héqâ Mâât, Horus D'Or Hor-em-heb, Roi des Deux Terres.... Année où Sa Majesté étendit Son influence sur le pays des Asiatiques et leurs cités. Je naquis le jour où la Dévoreuse enleva à l'affection de mes parents, mon frère khémes, tué par de vils bédouins de la tribu des Ahkhasites, qu'Amon les ait en abomination, près des frontières de la Province du Laurier Supérieur. Mon père, Ramosé, était alors gouverneur de cette province. Sous le régne de l'Hérétique, les frontières du pays de khémis sombrèrent dans le désordre et il ne fut permis à aucun gouverneur de lever des troupes pour y mettre fin. Les tribus bédouines eurent l'audace de la hyéne et s'approprièrent de vastes domaines. Quand Ramosé hérita de son père, il était déjà trop tard, il leva une armée pour reconquérir les terres perdues, mais ces gens mal entrainés et par couardise, abandonnèrent mon père et mon frère lors de la bataille. Khémes, l'impudent, s'élança seul contre les vils bédouins, ils le percèrent de leurs lances de cuivre et dansèrent devant mon père et ses quelques fidèles, agitant son cadavre. Malgrè une rançon, ils n'acceptèrent jamais de rendre son corps. Mes parents en conçurent un immense chagrin et reportèrent alors leur affection sur l'enfançon que j'étais.

Je fus un enfant curieux, observant le monde qui l'entourait, dés mes premiers pas les armes m'attirèrent et tout au long de mon enfance je m'exerçais à leurs maniements, ainsi qu'à la conduite des chars. Puis vint le temps ou j'entrai dans la maison de Vie de la ville de Khénen-Nesoult (Hérakléopolis) où j'appris les belles histoires des Dieux et de nos Rois, mais cela est une autre histoire.

Mais mon esprit vagabondait vers le désert, vers les aventures guerrières et les vastes chasses aux lions et aux taureaux sauvages. Mon sang bouillonnait d'exaltation, et j'usai de tous les artifices pour intégrer le corps des soldats de mon père. Las, devant mon obstination et malgré la crainte de ma mère, Ramosé céda et j'entrai à douze ans dans le corps des chars de mon père. Je dus, néanmoins rester sous la garde de mon ami et serviteur Amindiou, un fils de chef nubien, rapporté par mon père lors d'une expédition chez le Vice-Roi de Nubie. Amindiou était comme un frère et nous partageâmes tout durant notre longue vie....Mais cela est une autre histoire.

Dés mon arrivée, je rassemblai autour de moi deux cent soldats et cinquante chars, puis, guidés par le Dieu, nous nous exerçames pendant trois années dans le désert occidental de la Province du Laurier, j'en connu chaque pierre, chaque tannière d'animal, chaque cache d'eau. Et le jour de mes quinze ans, je revétis mon armure de guerre de cuir cloutée de bronze, pris mes armes chéries et avec ma troupe de soldats aguérris m'en allai dans le désert vers la tribu des Ahkasites....

Je concu un plan et ordonnai à une partie de mes gens de pieds de se diriger vers l'oasis dont ces vils bédouins en avaient fait leur demeure. Ils devaient simuler une grande fatigue, tituber comme des gens pris de boisson, l'autre partie des gens de pieds eurent l'ordre de s'emparer de leur camps et de s'en rendre maître. Quand à moi, je chargerai mes ennemis avec mes chars. Mon plan fonctionna, les vils bédouins sortirent en grand nombre tels des sauterelles sur le champs du paysan. Ils criaient, donnaient de la voix pour s'encourager, et nous abreuvaient de moqueries. Mes soldats, soudain, se redressèrent et formèrent une ligne compacte et ordonnée, attendant avec mépris leur attaque. Je sentis l'Esprit d'Amon s'insinuer en moi, déversant une grande force, Il guidait mon bras, et alors je m'élançai dans la bataille....

J'enroulai mes rênes autour de mes hanches et lançai mes chevaux au galop, et je décochai mes fléches rapides sur mon arc puissant. Chaque trait transperçait une gorge ou un torse et ils furent nombreux à voir la Sombre Couleur. Ayant épuisé mes fléches je pris mes javelots que je jettai sur les bébouins, j'en tuai là aussi, un grand nombre.. Mes chevaux renversaient et piètinaient les hommes, puis ils s'immobilisèrent, alors, je pris ma lance à la pointe de bronze et mon casse-tête, et je m'abattis tel le lion sur ses proies. Je fis un grand massacre ce jour, Amon m'inspirait, et les ennemis jettèrent leurs armes, tombèrent à genoux, reniflant la poussière, m'implorant de leur épargner le souffle de vie. Mais la fureur m'aveuglait, je ne m'arrêtai que lorsque tous mes ennemis furent couchés dans le sable rougi. Un grand silence prit place, mes hommes me regardaient emplis de crainte et de respect. Mes officiers n'osaient s'approcher, redoutant ma colère. Puis Amon, satisfait m'abandonna, un grand vide s'abattit sur mon esprit et je pu enfin respirer normalement. Nhéko mon premier officier s'approcha de moi, me prit la main et me dit :

- Mon Seigneur.... Tu es vainqueur....

J'étais vainqueur, j'ordonnais que l'on coupe les mains et le sexe des bédouins morts pour preuve de ma victoire, puis j'entrai dans le camp. Les femmes serraient leurs enfants contre elles, de peur que je les dévore. Là je découvris un grand butin, de l'or et de l'argent, du lin, des troupeaux de boeufs, de chèvres et de moutons, des cruches de vins et de bière, et des jarres de céréales en grand nombre. Tout une vie de rapines, de rançons et de pillages. Je fis venir devant moi les anciens et je leur dis qui j'étais, ils tremblaient de honte et de fureur, puis je posais la question qui m'obsédait depuis de nombreuses années :

- Qu'avez vous fait du corps de mon frère Khémes ?

Là les anciens hésitèrent, ils se regardaient en coin, puis l'un deux, plus courageux que les autres, m'indiqua un petit promontoire et jy découvris un simple trou recouvert d'une grande pierre. lorsqu'elle fut enlevée un squelette reposait dans une drap de lin, sa tête et ses mains avaient été coupés, par peur que son fantôme viennent hanter les Ahkhasites. J'ordonnai que le corps de mon frère soit déposé dans un char. Je plaçais une partie de mes gens à la garde de l'oasis, tous les Ahkhasites restant et âgés de plus de douze ans furent attachés et conduits à mon père. Mon retour fut triomphal, mes parents soulagés de me voir vivant tombèrent en larmes devant le corps de leur fils, ils me remercièrent, le peuple de la ville chanta mes exploits et m'acclama. Mon père me récompensa du titre de commandant de sa charrerie et me fit commandant en second après lui. Je restituai une grande partie du butin, je récompensai mes soldats ainsi que mes officiers. J'exigeai néanmoins de mon père qu'il me céda l'oasis de l'Abeille, car telle était son nom. Je demandai au juge qu'il fasse couper le nez et les oreilles des Akhhasites et qu'il les envoient travailler dans les mines de cuivre. Puis je demandai à mon père qu'il me fasse une autre faveur, qu'il m'accorda.

Je fis rassembler ceux des soldats qui, quinze ans avant avaient lâchement abandonnés mon père et mon frère. J'ordonnai pour leurs actes qu'ils soient bastonnés, ils reçurent, dans un grand silence empli d'effroit et de honte, cent coups de bâtons moins un pour leur récompense. Puis je m'adressai à la population, libérant mon courroux devant tant de lacheté.

Mon frère put enfin avoir les cérémonies funéraires qu'il méritait et son Kâ, maintenant repose en paix dans les Champs de Ialou......

Pendant sept ans je réorganisais la police et les troupes sous mon commandement, sécurisais les routes réouvertes au commerce et à l'abondance...
Puis un jour, mon père me choisit pour le représenter auprès de Sa Majesté dans la Grande Ville du Sceptre, Thébes....

Mais cela est une autre histoire....

caractéristiques éventuelles : (par exemple magnetisme, etc...à voir avec un admin avant)une tite idée à voir avec vous


Acteur ou image de l'avatar : celle du commandant des soldats de Râ dans stargate


Comment avez-vous connu le forum ? : en fouillant les forums de jeux

mot secret :
Mot ok pour Ramsès dsl je suis pas doué pour les devinettes.

Oulà, je tremble d'emotion devant une telle histoire ! C'est si bien ecrit ! Nous allons ressembler à une classe de jeunes scribes qui commencent à peine à apprendre l'ecriture des Dieux devant tes posts !

Cela dit, jattends donc par mp ton idée de particularité, et il manque le mot code. Il faut bien lire le règlement, il est caché dedans, à un endroit où il n'a rien à y faire. Il suffit de trouver le mot qui n'a rien à faire là.

En tout cas, félicitations pour ta fiche, et pour ton avatar, j'aime beaucoup, il faudra que l'on se fasse une chasse au lion ensemble lorsque j'aurais repris mon trône qui me revient de droit

Merci, j'essaye surtout de rester cohérent, dans le RP, ce n'est jamais facile pour un occidental de se mettre à la place d'un égyptien d'il y a 3500 ans, de penser et d'agir comme lui mais bon, l'important c'est d'essayer et de prendre du plaisir sur ce jeu.

Tu as tout compris, en même temps ce n'est qu'un rp, on essaye de se mettre à la place des egyptiens mais les petites incohérences ne sont pas bien graves (sauf si ton perso regarde sa montre )

Je ne vois plus rien à dire, tu es validé, alors bon jeu.

Bein à part whaou ! je ne vois rien d'autre à dire.
Oh si peut-être Bienvenue !!

Ramsès a écrit:

Il faudra que l'on se fasse une chasse au lion ensemble lorsque j'aurais repris mon trône qui me revient de droit

Mouahahahahahahaha Je ris à gorge déployée... Jamais tu ne verra ce jours Prince du Désert... Tu verra ton pays dirigé par Amasis ou moi en son absence

Sinon revenons à des sujets plus sérieux

Très très belle fiche, j'ai dévoré ton histoire... Au risque de paraître pour un inculte, ça se passe dans quel partie de l'Egypte ton histoire ? Tu es un vassal de Pharaon ? Est-ce que tu fais partie de son armée ?

Merci à vous, c'est sympa, en fait pour répondre à ta question Nemrod, l'Egypte est divisée en nomes ou provinces, gouvernées par un administrateur, il possède en général une troupe de soldats et de chars, suivant ses ressources humaines et pécunières, il a la possibilité de "lever" une armée, c'est a dire d'augmenter ses effectifs militaires. Il effectue des opérations de police sur les frontières et dans sa province et cela sous sa responsabilité. Il reçoit généralement ses ordres du Grand Vizir. Quand le roi part en guerre, il les prévient généralement plusieurs mois avant, afin que chaque gouverneur recrute des troupes, les entraîne, et quand le roi arrive dans les nomes, il inclue ces troupes à son armée.
Suivant la richesse des nomes, le gouverneur peut lever une armée de 1000 à 3000 hommes à pieds et de 50 à 200 chars, ce qui est très important pour la charrerie. En moyenne une armée égyptienne comporte entre 20 000 et 40 000 soldats maximum et peut aller jusqu'à 2000 chars.

L'action du RP de Mêêrenptah se situe dans la province supérieure du Laurier, près de la ville d'Hérackéopolis dans la 20ème nome de la Haute Egypte si tu préfères, j'ai choisi ce nome par hasard, le nom me plaisait bien.

Il faut savoir aussi qu'en principe, tous les militaires sont des fonctionnaires, donc au service du Pharaon. Sauf quand un gouverneur ou un général décide de lui ravir le trône. Les soldats sont comme tout le monde, il suffit de bien les payer pour s'assurer de leurs services....

Très bien expliqué, j'ajouterais juste que les gouverneurs, qui ont tous les droits dans leur province et qui n'en refèrent effectivement qu'au grand Vizir et au Pharaon en personne (c'est pour ça que certaines provinces sont plus prospères ou plus rebelles que d'autres) sont aussi appelés nomarques (et non monarques ). Ce sont des mini-rois dans des mini-royaumes, avec un grand roi au dessu d'eux, pour faire court

Oky merci pour ces infos ^^

Cool, j'ai un gars en plus sous mes ordres Comme Amasis n'est pas là, je suis le régent niaaaarg

Pour le plus grand plaisir de Sashara...

Nemrod a écrit:

Oky merci pour ces infos ^^

Cool, j'ai un gars en plus sous mes ordres Comme Amasis n'est pas là, je suis le régent niaaaarg

Pour le plus grand plaisir de Sashara...

hum hum!!!! Toussote....

pas encore, pas encore "Général"......

Nemrod a écrit:

Oky merci pour ces infos ^^

Cool, j'ai un gars en plus sous mes ordres Comme Amasis n'est pas là, je suis le régent niaaaarg

Pour le plus grand plaisir de Sashara...

Oh non pitié pas cela ^^

Mêêrenptah a écrit:

hum hum!!!! Toussote....

pas encore, pas encore "Général"......

Niarg de la rebellion, je me demande ce que va dire Amasis en voyant que son ami le plus fidèle rencontre de la résistance de la part d'un chef de province...

Sashara a écrit:

Oh non pitié pas cela ^^

Et si ma chère, tu pourra réessayer de détourner Nemrod d'Amasis, ça me fera rire...

Nemrod a écrit:

Sashara a écrit:

Oh non pitié pas cela ^^

Et si ma chère, tu pourra réessayer de détourner Nemrod d'Amasis, ça me fera rire...

je ne dis pas ce que je pense vraiment, cela ne ferais que dévoiler mes plans

bienvenue parmis commandant ^^
magnifique fiche

Désolé pour le flood que je vais faire mais je pouvais pas m'en empêcher...

Regarde Ramsès, Taïs a denouveau un rechute, elle oublie des mots en tapant... Il me semblait qu'elle se soignait pour ça...

Elle a dû oulier de passer à la pharmacie

Et si on proposait un gage à chaque mot qu'il manque desormais ?

ptdr !! je croyais en effet qu'elle était soignée ! Pourtant je lui avais recommander un excellent docteur mais il semblerait que cela ne soit pas assez éfficace ^^

oh non pitié !! je suis sure queTaïs et moi on en aura pleins après

Ben apparemment, ton médecin t'a roulé... Tu devrais penser à changer... Je suis pour les gages mais bon, si on arrive à 10, on lui laisse le temps de souffler..

bien je vais le renvoyer alors !

C'était qui ton médecin Nefereth ? L'ancien Médecin-Chef du Royaume ??? Je comprends que tu ne guéris pas...

Si elle lit ça, elle me tue

j'ai pas osé le dire ! Mais il semblerait que tu es eu le courage de le faire !! Faudrait qu'elle passe juste pour t'égorger !!

Niarg, je ne te laisserai pas ce plaisir de voir mon cadavre pourrir dans un caniveau...

Et puis tu te vends un peu aussi par ces mots :

Sashara a écrit:

j'ai pas osé le dire !

biensur que je me vends et alors ^^